Author Archives: Jayson Roy

Groupe FB : vous avez jusqu’au 23 mai pour voter

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Les membres du groupe FB sont plus nombreux que jamais à participer aux assemblées d’information virtuelles sur le vote de grève. Pour donner l’occasion à tous les membres de voter, nous avons ajouté deux nouvelles assemblées d’information :

  • Jeudi 23 mai à 12 h (HE), en français
  • Mardi 21 mai à 10 h (HE), en anglais

La période de vote se termine à 22 h (HE) le jeudi 23 mai.

Il n’est pas trop tard pour montrer à l’employeur qu’on est sérieux.

Un solide mandat de grève montre clairement au Conseil du Trésor et à l’Agence des services frontaliers du Canada que vous êtes prêts à vous battre pour une nouvelle convention collective qui garantit des salaires décents, le droit au télétravail pour les membres civils, une meilleure protection des emplois et des prestations de retraite équitables.

Il montre aussi à l’employeur que vous appuyez complètement votre équipe de négo et que vous êtes prêts à débrayer pour obtenir une entente équitable. Ce sera un atout précieux pour l’équipe lors des prochaines séances de médiation en juin et ça l’aidera à rejeter les concessions de l’ASFC pour obtenir un bon contrat de travail.

On vous encourage fortement à assister à une assemblée si ce n’est pas déjà fait.

Comment voter

Vous devriez avoir reçu vos identifiants pour le vote par courriel à votre adresse personnelle, ou par la poste, si on n’a pas votre courriel personnel dans nos dossiers. Vous aurez besoin de ces identifiants pour vous inscrire à une assemblée d’information et pour voter. Si vous ne les avez pas reçus, communiquez avec votre bureau régional.

N’oubliez pas de communiquer cette information à vos collègues, pour que tout le monde puisse voter.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Des membres de l’AFPC au Conseil du Trésor et dans d’autres organismes contraints de rembourser leur montant forfaitaire de 2 500 $

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À la dernière ronde de négociations avec le Conseil du Trésor, l’AFPC a obtenu un montant forfaitaire de 2 500 $ ouvrant droit à pension pour toutes les personnes qui étaient membres des unités de négo EB, PA, SV et TC à la date de signature de la convention collective.

Depuis, le syndicat a négocié le même avantage avec l’Agence du revenu du Canada, Parcs Canada, la Monnaie Royale canadienne, l’Agence canadienne d’inspection des aliments et d’autres organismes fédéraux.

Or, certains membres ont dû rembourser ce montant parce qu’ils touchaient des prestations d’assurance-emploi au moment où ils l’ont reçu. On parle essentiellement de travailleuses et de travailleurs saisonniers et en congé parental, mais aussi de membres en congé non payé en raison d’une blessure ou d’une maladie et recevant des prestations de maladie.

Mauvaise interprétation

À l’origine de ce remboursement forcé : l’interprétation erronée d’Emploi et Développement social Canada, qui a considéré le montant forfaitaire comme un revenu gagné pendant la période de prestations d’assurance-emploi.

Les services juridiques de l’AFPC ont confirmé que cette interprétation ne concorde pas avec nos conventions collectives, lesquelles précisent que les prestataires ont droit au montant forfaitaire pour l’exécution de leurs fonctions pendant les périodes où ils travaillaient activement, et non pendant leur congé.

Récemment, une membre de l’Association canadienne des employés professionnels a contesté cette interprétation avec succès.

Le Tribunal de la sécurité sociale du Canada a conclu que [traduction] « le paiement de l’employeur visait les services rendus par la membre avant qu’elle parte en congé de maternité et demande des prestations d’assurance-emploi », et que [traduction] « la Commission de l’assurance-emploi a interprété à tort ce montant comme une prime à la signature et l’a incorrectement réparti sur une semaine visée par la demande d’assurance-emploi de la membre ».

Mesures à prendre

Si vous faites partie des membres lésés, présentez sans tarder une demande de révision d’une décision d’assurance-emploi en entrant les renseignements suivants dans la partie 3, Raison pour la demande de révision :

Le paiement de 2 500 $ n’est pas une prime à la signature. Il vise l’exécution de mes fonctions avant le début de mon congé et de mes prestations d’assurance-emploi. En pareil cas, le montant doit être réparti sur la période précédant le congé, conformément au paragraphe 36(4) du Règlement sur l’assurance-emploi.

Les demandes de révision doivent normalement être présentées dans les 30 jours suivant la réception de la décision, mais la Commission accorde des exceptions dans certaines circonstances. Si vous avez dépassé ce délai, vous pouvez demander qu’il soit reporté pour vous donner le temps de vous renseigner sur le paiement auprès de votre syndicat. En cas de rejet, vous avez 30 jours pour porter cette décision en appel.

Si vous rencontrez des problèmes ou si vous avez des questions au sujet du processus d’appel, communiquez avec l’AFPC. Le personnel vous aidera à faire respecter vos droits.

Remarque pour les prestataires d’assurance-emploi

Il se peut que vous n’ayez pas encore reçu d’avis à ce sujet. Toutefois, si vous receviez des prestations lors de la ratification de votre convention collective ou dans les mois précédant le versement du montant forfaitaire, on pourrait vous demander de rembourser ce montant.

Si vous recevez une demande de remboursement, vérifiez vos relevés d’assurance-emploi et votre compte et prenez les mesures ci‑dessus.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Trois jours au bureau : les grands syndicats sortent leurs gros canons

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Dans un effort concerté, les plus grands syndicats fédéraux canadiens, qui représentent plus de 270 000 fonctionnaires, ont déposé une série de contestations judiciaires et feront campagne dans tout le pays pour s’opposer à la décision du gouvernement d’obliger ses fonctionnaires à travailler trois jours semaine au bureau.

L’Alliance de la Fonction publique du Canada (AFPC), l’Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC), l’Association canadienne des employés professionnels (ACEP) et l’Association canadienne des agents financiers (ACAF) lancent une campagne unifiée pour s’opposer à la formule de télétravail taille unique du gouvernement. Celle-ci contrevient aux droits durement acquis des fonctionnaires et anéantit la confiance des syndicats et de leurs membres dans ce gouvernement.

« La décision de forcer les membres à retourner dans des bureaux mal équipés et mal entretenus est entièrement politique et met en péril les services dont dépend la population », explique le président national de l’AFPC, Chris Aylward. « Le gouvernement prétend être l’ami des fonctionnaires, mais il ne cesse de prendre des décisions unilatérales qui ont des conséquences sur le bien-être des fonctionnaires et de leurs familles. »

« Les travailleuses et travailleurs se sentent trahis. On utilisera tous les moyens à notre disposition pour lutter contre cette décision et assurer l’adoption d’un régime de télétravail qui fonctionne pour tout le monde. »

Le gouvernement avait déjà beaucoup de difficulté à faire appliquer le retour au bureau deux jours semaine en raison du manque d’espace et de matériel adéquat. Dans son budget fédéral, il s’est engagé à vendre la moitié de tous les immeubles fédéraux pour réduire les dépenses, ce qui n’a rien pour arranger les choses.

Lettre à la présidente du CT

L’AFPC et d’autres syndicats ont envoyé des lettres à Anita Anand, présidente du Conseil du Trésor et à Jagmeet Singh, chef du NPD, les exhortant d’agir de toute urgence.

Dans la lettre à Mme Anand, les syndicats manifestent leur opposition à la récente décision de modifier unilatéralement la directive sur le télétravail.

On demande au gouvernement de régler d’urgence les problèmes associés à cette décision, notamment l’absence de consultation et la dégradation des relations de travail, la consultation de façade, l’incapacité à mettre des politiques en place, l’incidence sur la productivité et le bien-être du personnel et le manque de confiance et de respect.

Lettre au chef du NPD

Dans la lettre à M. Singh, les syndicats disent s’inquiéter de l’appui du parti à l’égard d’un gouvernement qui méprise de façon aussi flagrante les droits et le bien-être des travailleuses et des travailleurs. On presse le NPD d’utiliser son pouvoir au titre de l’entente de soutien et de confiance entre les libéraux et les néo-démocrates pour tenir le gouvernement de Justin Trudeau responsable de ses actes et défendre les droits des travailleuses et des travailleurs.

« Ce n’est pas une simple journée de travail de plus au bureau », ajoute Chris Aylward. « Cette décision malavisée est vouée à l’échec. L’employeur entasse ses fonctionnaires dans des bureaux exigus et mal équipés pour qu’ils passent leurs journées en téléconférence avec leurs collègues qui travaillent ailleurs au pays. »

Un enjeu de taille à la table de négociation FB

Cette semaine, l’AFPC a déposé une série de contestations judiciaires contre le gouvernement. Elle encouragera aussi ses membres à déposer des griefs individuels en vue de le forcer à revenir sur sa décision.

Depuis l’annonce de cette décision monolithique, plus de 26 000 membres de l’AFPC ont envoyé des lettres à leur député et à la présidente du Conseil du Trésor, Anita Anand, pour exiger du gouvernement qu’il fasse marche arrière.

« Le gouvernement peut s’attendre à un été de grogne », déclare Chris Aylward. « Les travailleuses et travailleurs sont extrêmement frustrés et indignés devant la violation flagrante de leurs droits. Leur mouvement de contestation se fera sentir dans la rue et au travail partout au pays. »

En quelques jours à peine, quelque 50 000 membres de l’AFPC – presque le tiers de ceux relevant du Conseil du Trésor – ont participé à notre sondage sur la décision du gouvernement, un éloquent témoignage de la ferme opposition au retour au bureau trois jours semaine. De ces membres, 90 % sont prêts à manifester leur opposition concrètement et près de la moitié confieraient un mandat de grève au syndicat lors de la prochaine ronde de négociations pour contester la politique de télétravail du gouvernement.

L’écrasante majorité des membres de l’AFPC ont dit que le retour au bureau trois jours semaine compromettra la conciliation travail-vie personnelle (90 %), leur bien-être psychologique (85 %), leur satisfaction professionnelle (81 %) et leur productivité et leur efficacité (78 %).

Le télétravail est un enjeu de taille à la table de négociation des 9 000 membres de l’AFPC à l’Agence des services frontaliers du Canada, dont le vote de grève se termine le 15 mai. À défaut d’une entente concernant, entre autres, le télétravail, les salaires et la réforme du régime de retraite, la population peut s’attendre à d’importants retards aux frontières et aux points d’entrée du pays pendant la saison estivale.

Le contenu de cet article provient du site de l’AFPC.

Trois jours au bureau : qu’en pensez-vous?

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Sans se soucier le moins du monde du bien-être de ses fonctionnaires, le gouvernement fédéral a décidé qu’ils devront tous travailler au bureau au moins trois jours par semaine à compter du 9 septembre. C’est le Conseil du Trésor qui en a fait l’annonce le 1er mai.

On doit connaître vos expériences et vos points de vue pour mieux s’opposer à cette décision unilatérale et malavisée.

Il vous faudra à peine cinq minutes pour répondre au sondage. Vos renseignements personnels resteront strictement confidentiels. On aura besoin de vos réponses d’ici le 20 mai 2024.

En faisant front commun, on montrera au gouvernement qu’on est prêts à agir.

Je vous remercie de votre participation.

Cordialement,
Chris Aylward

Cet article provient du site de l’AFPC.

À regarder — Retraite après 25 ans de service pour le personnel frontalier : Brian Masse pose les vraies questions

Brian Masse pose les vraies questions de la part de nos membres et de soulever le problème de longue date de la retraite après 25 ans de service

Le SDI est reconnaissant à Brian Masse de poser les vraies questions aux Communes de la part de nos membres. Le 30 avril dernier, en soulevant le problème de longue date de la retraite après 25 ans de service pour le personnel frontalier, le député de Windsor-Ouest a fait lumière sur l’absence d’action de la part gouvernement fédéral dans ce dossier.

La présidente du Conseil du Trésor, Anita Anand, semble satisfaite de prétendre qu’il s’agit d’une question qui sera résolue par le biais de la CIP, affirmant que ‘les meilleures ententes sont celles faites à la table de négociations’.

Quelques faits :

  • Les dispositions relatives à la retraite équitable après 25 ans de service doivent être mises en place par le biais d’amendements législatifs. Cela ne se fait pas à la table de négos, mais à la Chambre des communes. La présidente du CT, Anita Anand, peut faire en sorte que cela se produise dès maintenant. C’est simple.
  • La CIP a lieu après que les parties aient atteint l’impasse. Anita devrait peut-être demander à l’équipe de négociation du CT ce que celle-ci faisait pendant que notre équipe était à la table.
  • L’employeur n’a pas besoin d’attendre la recommandation de la CIP pour offrir un accord équitable et une réelle proposition salariale. Il peut choisir de faire la bonne chose dès maintenant.

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