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Négos du groupe FB : participez à une réunion dans votre région

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Les membres de l’équipe de négo du groupe FB visitent les lieux de travail et tiennent des réunions de membres dans tout le pays.

Ne manquez pas cette occasion de les rencontrer, d’avoir les dernières nouvelles des négos et d’obtenir du matériel promotionnel pour montrer votre soutien.

Les dates, les heures et les lieux de réunion sont affichés sur le site web de l’AFPC. Cette page sera mise à jour lorsque de nouveaux renseignements seront disponibles.

Groupe FB : l’AFPC-SDI a présenté ses revendications salariales

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L’équipe de négo du groupe FB a poursuivi les pourparlers avec l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et le Conseil du Trésor du 13 au 16 juin. Après avoir effectué une analyse complète de la rémunération et des conditions de travail dans le milieu de l’application de la loi, nous avons présenté nos revendications salariales.

Par exemple, nous avons demandé que notre grille salariale soit alignée sur celle de la GRC. En outre, nous avons demandé une période de repas payée pour tous les membres de l’unité de négociation, comme c’est le cas dans les autres organismes d’application de la loi.

Nous cherchons également à bonifier les primes et les indemnités afin de résoudre les problèmes qui se posent au travail. Il s’agit notamment d’une augmentation de l’indemnité de maître-chien et de nouvelles indemnités pour l’encadrement sur le terrain et la tenue civile. Nous avons également discuté de la rémunération du temps de pratique pour le maniement d’armes à feu, d’une prime pour renvoi sous escorte, d’une indemnité pour le conditionnement physique ainsi que du remboursement des frais de cotisation pour les agentes et agents d’audience et des frais de tir pour les agentes et agents armés.

L’employeur n’a pas encore réagi à nos revendications.

Notre équipe s’oppose aux changements technologiques qui mettent la population en danger.

Notre équipe a encore insisté auprès de l’employeur pour qu’il mette fin aux changements unilatéraux mis en œuvre dans le cadre de l’initiative de modernisation des programmes pour les voyageurs. L’AFPC-SDI a déjà intenté une action en justice contre l’ASFC au sujet des changements apportés à ArriveCAN et aux portes électroniques. Comme ces changements concernent du personnel syndiqué, l’ASFC doit nous consulter.

Nous avons aussi réitéré nos revendications relatives au harcèlement au travail. Le récent Sondage auprès des fonctionnaires fédéraux révèle que l’ASFC est un milieu de travail toxique où les membres du personnel se font fréquemment harceler par la direction.

Notre équipe est prête à poursuivre les pourparlers durant l’été. Cependant, l’employeur a refusé de négocier en juillet et en août en raison du Plan d’action d’été. En quoi cela empêche-t-il les parties de se rencontrer? Nous n’en savons rien. Nous ne pouvons que supposer que l’employeur craint que la présence des dix membres de l’équipe de négociation sur la ligne de front ne soit la solution à la pénurie de personnel à l’ASFC. Quoi qu’il en soit, il est honteux de voir le Conseil du Trésor retarder inutilement le processus de négociation.

À venir

Cet été, notre équipe de négociation s’arrêtera un peu partout au Canada pour recueillir l’avis des membres et les informer de l’évolution des négociations. Nous vous tiendrons informés dès qu’il y aura du nouveau.

Les pourparlers reprendront en septembre.

Pour ne rien manquer, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour. Si vous avez des questions, contactez la présidence de votre succursale ou votre bureau régional.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Groupe FB : la loi doit permettre de lutter contre les problèmes systémiques à l’ASFC

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L’AFPC-SDI recommande au gouvernement de renforcer son projet de loi visant à ajouter un volet de surveillance civile à la Gendarmerie royale du Canada et à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) en élargissant sa portée afin d’éliminer la discrimination systémique et l’abus de pouvoir de la part des gestionnaires.

Mark Weber, président national du Syndicat des Douanes et de l’Immigration (SDI), doute que le projet de loi C-20 entraîne de véritables changements systémiques au sein de l’ASFC s’il ne garantit pas le maintien des droits prévus dans la convention collective et s’il ne prévoit pas des moyens de signaler les abus et les passe-droits des gestionnaires.

Le projet de loi prévoit la création d’une commission civile d’examen et de traitement des plaintes pour la GRC et l’ASFC.

« Nous convenons qu’il est primordial que notre gouvernement et ses organismes élaborent les outils et les ressources nécessaires pour s’attaquer aux problèmes liés aux débordements, à la discrimination systémique et à l’abus de pouvoir, dit Mark Weber. Le projet de loi semble rater la cible lorsqu’il s’agit de s’attaquer aux problèmes systémiques qui existent déjà au sein de l’Agence, qui est tristement célèbre chez ses employés pour laisser passer des abus flagrants de la part de la gestion. »

De plus, le projet de loi ne précise pas les échéances pour déposer une plainte ou tenir une enquête ni les droits établis par la convention collective, comme la représentation syndicale pendant les enquêtes administratives.

Selon le libellé actuel, les agentes et agents de l’ASFC et autres membres du personnel ne peuvent pas signaler les mesures disciplinaires injustes ou abusives à la commission. Cette situation est particulièrement inquiétante quand on sait que les gestionnaires ont l’habitude d’ignorer les plaintes, pour ensuite recourir au processus disciplinaire exhaustif actuel pour punir les travailleuses et travailleurs.

Le témoignage de l’AFPC-SDI a aussi signalé des problèmes récurrents au Comité permanent de la sécurité publique et nationale : le remplacement du personnel par la technologie, l’annulation arbitraire de la formation sur la lutte contre le racisme et l’embauche de gardes de sécurité du secteur privé, mal préparés, dans les installations de détention. L’ajout de dispositions plus rigoureuses contribuerait à régler les problèmes culturels enracinés au sein de la gestion de l’ASFC.

Reconnaissance des agentes et agents de l’ASFC en tant que personnel de sécurité publique dans toutes les lois fédérales

Le projet de loi est aussi l’occasion pour le gouvernement de reconnaître que les agentes et agents de l’ASFC chargés de l’application de la loi méritent le même traitement et les mêmes avantages sociaux que le reste du personnel chargé de la sécurité publique au Canada.

Pendant la dernière ronde de négo du groupe FB, l’AFPC a négocié avec le Conseil du Trésor un engagement à aller de l’avant pour offrir aux membres FB un régime de pension équitable. Le Conseil du Trésor s’est engagé à soumettre de nouveau la proposition du groupe visant à apporter des modifications législatives afin d’offrir, en vertu du régime de la fonction publique, une retraite anticipée bonifiée, aussi appelée « la retraite après 25 ans de service ». Le gouvernement doit maintenant mettre en place ces modifications législatives pour concrétiser la retraite anticipée.

« Nos membres chargés de l’application de la loi font partie intégrante de la sécurité publique du pays. Le projet de loi sur ce nouvel organisme de surveillance civile laisse entendre que le gouvernement fédéral est d’accord, mais cela n’est toujours pas reconnu dans les principales lois régissant la fonction publique, telles que la Loi sur la pension de la fonction publique et la Loi de l’impôt sur le revenu » précise Mark Weber.

Le gouvernement doit être cohérent dans son approche : pour que le projet de loi soit conséquent, l’ensemble des lois fédérales doivent confirmer que les agentes et agents de l’ASFC chargés de l’application de la loi font bel et bien partie du personnel de sécurité publique.

Regardez la webdiffusion intégrale sur ParlVU.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Négos du groupe FB : NON aux guichets libre-service aux frontières canadiennes

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Notre équipe de négo a rencontré l’employeur les 24 et 25 mai pour la première fois depuis l’adoption du budget fédéral et de la Loi d’exécution du budget (projet de loi C-47). Notre dernière rencontre remontait à celle du 21 au 23 mars, car nous avons reporté les négociations d’avril par solidarité avec nos camarades du Conseil du Trésor et de l’ARC qui étaient en grève. C’était donc la première fois que nous pouvions manifester notre opposition au projet de loi.

Les modifications que propose le gouvernement dans sa loi mettent en danger nos collectivités en permettant à des individus d’entrer au Canada sans jamais parler au personnel des services frontaliers, un risque qui s’ajoute à ceux que pose l’initiative de modernisation des programmes pour les voyageurs de l’ASFC.

Notre équipe s’oppose à la mise en place des guichets libre-service. Pourquoi? Parce qu’ils laisseront le champ libre aux personnes qui arrivent au pays avec des intentions criminelles. On pense ici aux criminels dangereux et aux personnes qui se verraient refuser l’entrée au pays parce qu’elles ont commis des crimes (de guerre, par exemple) ou ont été accusées d’espionnage, de traite de personnes ou de trafic d’armes ou de drogues. Il est évident qu’elles ne l’indiqueront pas sur leur déclaration volontaire.

L’AFPC-SDI porte plainte contre l’employeur

Nous allons porter plainte à la Commission des relations de travail et de l’emploi dans le secteur public fédéral concernant les changements technologiques qui ont déjà été apportés par l’ASFC, notamment l’application ArriveCAN et les portes électroniques.

Au cours de la semaine, notre équipe de négo a exhorté le Conseil du Trésor et l’ASFC à interrompre la mise en œuvre de ces changements – de même que les séances d’information à l’intention du personnel concernant la « modernisation des frontières » – jusqu’à ce que le syndicat soit consulté. Si l’employeur refuse, nous consulterons nos services juridiques en vue d’intenter une action en justice. Nous ne resterons pas les bras croisés alors que le gouvernement tente d’éliminer les agentes et les agents aux frontières et mettre la population en danger sans rien faire.

Nous avons aussi parlé de notre proposition de formation antiracisme et demandé à l’ASFC d’expliquer sa décision de stopper unilatéralement et sans explication la formation dont nous avions convenu en mars.

Prochaines étapes

Les pourparlers reprendront le mois prochain. Entre-temps, nous continuerons à faire pression sur le gouvernement et l’ASFC pour qu’ils agissent de manière responsable, qu’ils collaborent avec nous et qu’ils fassent ce qui est juste.

Pour ne rien manquer, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour. Si vous avez des questions, contactez la présidence de votre succursale ou le bureau de l’AFPC de votre région.

Cet article provient du site de l’AFPC.

Groupe FB : les négos sont reportées par solidarité avec les grévistes

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L’équipe de négo du groupe FB devait reprendre les pourparlers cette semaine, du 25 au 27 avril, mais elle a informé l’employeur qu’elle n’assistera pas à ces rencontres par solidarité avec les plus de 155 000 membres en grève de l’AFPC relevant du Conseil du Trésor et de l’Agence du revenu du Canada.

Lors de notre dernière rencontre avec l’employeur, en mars, nous avons été clairs : nous n’assisterons pas à ces réunions si des membres des groupes PA, SV, TC, EB et de l’AFPC-SEI sont en grève.

« Une chose est sûre : la grève en cours des membres de l’AFPC, en tant qu’action génératrice, servira de fondement aux futurs gains pour tous les travailleurs et travailleuses du pays, y compris les membres du groupe FB », affirme l’équipe de négo. « Nous refusons de discuter avec un employeur qui fait preuve d’un manque total de respect envers nos consœurs et confrères. Nous rencontrerons le Conseil du Trésor après qu’il aura accordé aux grévistes une entente juste et équitable. »

Appui aux grévistes

Les plus de 2 500 membres de l’AFPC-SDI qui font partie du groupe PA sont actuellement en grève. Ils effectuent des tâches administratives et d’autres tâches non liées à l’application de la loi, et soutiennent les activités de première ligne dans tout le pays. Ces membres, qui jouent un rôle crucial dans le bon fonctionnement des procédures frontalières, ont besoin de l’appui de tous les membres de l’AFPC-SDI. Plus que jamais, l’union fait la force!

Il y a bien des façons d’appuyer vos collègues, même si vous devez continuer de travailler et d’accomplir vos tâches. Vous pouvez, par exemple, porter des articles promotionnels au travail, faire des appels téléphoniques en soirée ou prendre part à d’autres activités de mobilisation qui n’empiètent pas sur votre horaire de travail.

Vous pouvez également participer aux piquets de grève avant ou après le travail, pendant votre pause-repas ou vos journées de congé. Trouvez un piquet de grève près de chez vous à l’aide de notre outil de localisation.

Consultez notre FAQ sur la grève pour plus d’information. Pour ne rien manquer, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour. Si vous avez des questions, contactez la présidence de votre succursale ou votre bureau régional.

Cet article provient du site de l’AFPC.