Les postes de sécurité frontalière passent au couperet, nous rendant toutes et tous davantage vulnérables. Les conservateurs de Stephen Harper coupent dans les services publics à l’échelle du pays, sans le moindre égard pour la sécurité et le bien-être de la population.
Examinez les faits
– D’ici 2017, le gouvernement prévoit abolir près de 1 100 postes à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), ce qui réduira le nombre d’agents frontaliers de première ligne, d’agents du renseignement et d’escouades canines. (Source : rapports sur les plans et priorités de l’ASFC)
– Le gouvernement s’entête à couper des postes à l’ASFC, même si le nombre de saisies de drogues augmente et que les autorités soupçonnent l’entrée de plus d’armes illégales au Canada. (Source : CBC News)
– Des données gouvernementales révèlent que, au cours des deux dernières années, l’ASFC n’a pas reçu tous les renseignements exigés sur les passagers de plus de 3 000 vols, puisqu’il n’y avait plus d’agents pour les recueillir dans les petits aéroports. (Source : CTV news)
– Depuis qu’il manque d’agents de services frontaliers, on observe une chute radicale des saisies de faux passeports canadiens aux ports d’entrée.
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