Groupe FB : l’AFPC signifie un avis de négocier et se prépare à la conférence sur la négociation

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L’AFPC a fait le premier pas en vue de la prochaine ronde de négociations pour plus de 8 500 membres du groupe FB de l’AFPC-SDI en signifiant un avis de négociation au Conseil du Trésor.

En réponse à sa demande de revendications, le syndicat a reçu plus de 1 000 propositions de la part de membres de l’AFPC-SDI qui travaillent pour l’Agence des services frontaliers. Le mois prochain, des membres de toutes les succursales du Syndicat des Douanes et de l’Immigration se réuniront en personne dans le cadre de notre Conférence nationale sur la négociation à Ottawa, du 31 mars au 2 avril, pour élire une équipe de négo et pour discuter des priorités pour la prochaine ronde. Les dates initiales de négociation seront établies peu après.

La mobilisation sans précédent des membres du groupe FB durant la dernière ronde de négociations a été déterminante dans l’obtention de gains importants : une meilleure protection contre les mesures disciplinaires excessives, la simplification du processus de règlement des griefs et diverses améliorations qui concordent avec ce que fournissent d’autres organismes canadiens d’application de la loi. L’AFPC-SDI poursuivra ses efforts en vue de bonifier ces gains.

Tout au long de la pandémie, les membres de l’AFPC-SDI à l’ASFC se sont surpassés afin de servir la population canadienne et de protéger nos frontières. Le temps est venu pour l’employeur de reconnaître leur dévouement en améliorant les conditions de travail et la sécurité au sein de l’ASFC.

Restons en contact!

Pour ne rien manquer des négociations de votre prochain contrat de travail, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour dans le portail des membres.

Si vous avez des questions, communiquez avec la présidence de votre succursale du SDI ou le bureau régional de l’AFPC.

Cet article provient du site de l’AFPC.[:]

Protestations continues contre le mandat bilatéral de vaccination : lettre au président de l’ACC

Photo of CIU flag

Le président national du SDI, Mark Weber, a envoyé la lettre suivante à Stephen Laskowski, président de l’Alliance canadienne du camionnage, le 3 février 2022.


Monsieur le président,

C’est avec un grand intérêt que j’ai lu les récentes déclarations de l’Alliance canadienne du camionnage en réponse aux manifestations en cours contre la vaccination obligatoire des camionneurs et autres travailleurs essentiels qui traversent la frontière canado-américaine.

Le 6 août dernier, lorsque les membres du Syndicat des Douanes et de l’Immigration ont entrepris leur grève du zèle dans le cadre des négociations contractuelles, la grande majorité des camionneurs ont fait preuve de patience et de considération envers les agents frontaliers, ce qui témoigne du professionnalisme de vos membres. Au cours des dernières semaines, les réactions de nos membres de première ligne ont également été sans équivoque : depuis la mise en oeuvre de la politique de vaccination obligatoire pour les voyages transfrontaliers à la fin janvier 2022, les interactions entre les agents frontaliers et les camionneurs entrant au Canada ont continué d’être positives.

Comme l’ACC l’a noté dans ses communications, la plupart des camionneurs sont vaccinés et se conforment aux règlements relatifs à la COVID-19. Étant donné que le personnel de l’ASFC et les camionneurs interagissent quotidiennement à travers le Canada, je reconnais que nos effectifs respectifs collaborent pour assurer la santé et la sécurité de tous ceux et celles qui participent au maintien du mouvement des marchandises commerciales qui entrent au pays.

Bien que le droit de protester soit une force indéniable de notre démocratie, il est certainement malheureux de constater que certaines personnes ont choisi d’exprimer leur irritation à l’égard de la réglementation actuelle d’une manière qui jette une ombre sur le reste de la profession de camionneur. Je suis convaincu que les Canadiennes et les Canadiens de partout savent que ces actions ne sont pas représentatives de vos membres en général. Les actes d’intolérance ne peuvent être tolérés ou ignorés, et je suis heureux de voir l’ACC prendre une position ferme contre un tel comportement.

En terminant, je souhaite remercier vos membres d’avoir travaillé en première ligne tout au long de la pandémie, et vous offrir mon soutien total, à vous et à votre organisation, en ces temps difficiles. Conformément à ce que vous avez vous-même déclaré, ce n’est qu’en travaillant ensemble vers un objectif commun que nous pouvons espérer atténuer l’effet de la pandémie en cours. Dans cette perspective,

je vous adresse mes salutations,

Le président national
Syndicat des Douanes et de l’Immigration
Mark Weber

Téléchargez la version PDF de cette lettre.[:]

Trafic d’armes à feu illégales : le président national du SDI souligne d’importantes lacunes et appelle à un recours accru aux agents frontaliers

CIU Flag / Drapeau du SDI

Le mardi 1er février 2022, le président national du Syndicat des Douanes et de l’Immigration, Mark Weber, témoignait devant le Comité permanent de la sécurité publique et nationale de la Chambre des communes dans le cadre d’une étude portant sur le contrôle des armes à feu et le trafic illégal des armes, soulignant les préoccupations du syndicat quant à la capacité du Canada à freiner les activités de contrebande.

Les agents frontaliers doivent pouvoir opérer entre les points d’entrée

Dans son allocution d’ouverture, le président national Weber a attiré l’attention du Comité sur trois domaines d’importance particulière : la pénurie de personnel chronique et généralisée à l’ASFC, les lacunes opérationnelles importantes au niveau des modes d’opération routier, maritime et ferroviaire, et le besoin pressant de recourir davantage à l’expertise unique du personnel de l’ASFC, notamment entre les points d’entrée.

« Si le gouvernement du Canada entend sérieusement s’attaquer au problème de la contrebande d’armes à feu illégales à la frontière, le mandat des agents frontaliers doit être élargi afin d’aider à patrouiller entre les postes frontaliers » a déclaré M. Weber au Comité, critiquant l’incapacité actuelle des agents de l’ASFC à opérer en dehors des points d’entrée. « Il est bien connu que la frontière entre le Canada et nos voisins du Sud est la plus longue frontière non défendue au monde. Bien qu’il s’agisse d’un témoignage des bonnes relations entre nos deux pays, elle comporte aussi sa part de défis uniques en matière de sécurité. Pour atténuer ceux-ci, nous invitons le gouvernement du Canada à donner à ses agents de l’ASFC les moyens de contribuer davantage à freiner les activités de contrebande d’armes à feu au Canada par voie terrestre ou maritime, y compris entre les points d’entrée. »

Des infrastructures désuètes et insuffisantes

Au cours de la séance de trois heures, le président national du SDI a également relevé des problèmes touchant à la plupart des modes d’opération, y compris en ce qui concerne des infrastructures désuètes ou insuffisantes, et soulignant entre autres les opérations ferroviaires comme un exemple particulièrement flagrant : « La réalité est que nos capacités opérationnelles actuelles en mode ferroviaire sont pratiquement inexistantes : le Canada dispose de zéro capacité d’examen directement à la frontière, en raison notamment de problèmes géographiques, d’outils inadéquats et de décisions politiques visant à ne pas obliger les transporteurs ferroviaires à fournir les installations nécessaires. Autrement dit : il n’y a pratiquement aucune chance que soit un jour trouvée une arme illégale entrant au pays par voie ferroviaire. »

Le message du président national Weber a été clair : l’ASFC doit non seulement s’attaquer aux problèmes pressants concernant les effectifs qui aggravent d’importantes lacunes opérationnelles, mais elle doit aussi s’appuyer davantage sur l’expertise unique de ses agentes et agents lorsqu’il s’agit de prendre des décisions stratégiques. « Trop souvent, la direction adopte un plan d’action qui ne tient pas compte de la réalité sur le terrain ou qui l’ignore carrément. Nous pensons que cela pourrait être corrigé par une consultation significative et une participation effective de nos membres. »

Un enregistrement de la réunion du Comité peut être visionné ici.[:]

Mois de l’histoire des Noirs : renouveler la lutte contre le racisme anti-noir au travail

En ce Mois de l’histoire des Noirs, soulignons et célébrons les réalisations passées et actuelles des peuples noirs, leur apport à la société canadienne et leur combat de tous les instants pour l’équité. Le moment est bien choisi pour réfléchir à la force et à la résilience des personnes d’ascendance africaine et antillaise, et pour renouveler la lutte contre la discrimination et le racisme systémique dans nos collectivités.

Les syndicalistes et les travailleuses et travailleurs noirs ont aidé à façonner le mouvement syndical canadien. De la création de l’une des premières écoles ouvrières du Canada en 1842 au lancement du Recours collectif noir, les syndicalistes, travailleuses et travailleurs noirs ont contribué à façonner le mouvement syndical canadien dont nous bénéficions aujourd’hui.

Les droits ouvriers et les milieux de travail du pays ont connu d’importantes avancées, fruit du courage et de la persévérance ce ces personnes, et le Mois de l’histoire des Noirs nous offre l’occasion de les remercier de leur leadership et de toutes leurs victoires.

Cliquez ici pour continuer à lire cet article sur le site de l’AFPC. [:]

La santé mentale, ça compte, au travail comme à la maison

a photo of three people with the words "mental health matters"

Aujourd’hui, tout comme lors des années précédentes à la fin du mois de janvier, les réseaux sociaux sont remplis de discussions visant à nous sensibiliser aux enjeux et aux initiatives en santé mentale. Alors que la deuxième année de la pandémie tire à sa fin, les nombreux défis posés par cette crise sans précédent, à la fois en termes de santé physique et mentale, rendent d’autant plus importante une réflexion sur l’état de nos services de santé en général et sur l’ensemble de nos systèmes de soutien en matière de santé mentale.

Les travailleuses et travailleurs essentiels et de première ligne continuent à être confrontés à des situations extrêmement pénibles, et le besoin d’une infrastructure de services à la fois robuste et accessible ne peut être sous-estimé si nous voulons prendre soin du bien-être mental des Canadiennes et des Canadiens partout au pays – y compris au travail. En 2020, la Commission de la santé mentale du Canada a publié une étude démontrant que près de 9 Canadiennes et Canadiens sur 10 souhaitaient un financement accru en santé mentale. En 2021, du point de vue du secteur de l’application de la loi, Statistique Canada a publié un rapport indiquant sans équivoque que la pandémie a eu un impact important sur le bien-être mental de la population canadienne – certains services de police ayant relevé une augmentation de 13% au niveau des demandes d’intervention liées à des vérifications du bien-être général, et une augmentation de 12% au niveau des demandes liées à la santé mentale.

Au-delà des préoccupations causées par la COVID-19 et de la nécessité de favoriser l’accès à des soins en santé mentale appropriés, la culture en milieu de travail doit également favoriser le bien-être mental au lieu de l’entraver. Au sein de l’ASFC, des sondages antérieurs auprès des employés ont révélé un niveau élevé d’insatisfaction causée par un milieu de travail psychologiquement malsain. En tant que syndicat, nous avons été clairs : il est nécessaire pour l’ASFC de régler les nombreux problèmes qui affligent l’Agence en matière d’abus de pouvoir et de harcèlement de la part des gestionnaires.

Vous n’êtes pas seul

Lorsque vous faites face à une situation difficile au travail ou à la maison, n’oubliez pas que vous n’êtes pas seul. Les gens autour de vous peuvent être une source de soutien et votre syndicat est là pour vous aider à trouver les ressources dont vous avez besoin. En tant qu’employés de l’ASFC, vous avez toujours accès aux services confidentiels offerts par SynerVie, que ce soit pour obtenir de l’aide ou des conseils (pour en savoir plus sur SynerVie et d’autres ressources, consultez notre page sur la santé mentale). L’AFPC a également publié une liste de ressources pour vous aider si vous vous sentez dépassé, souffrez de stress ou faites face à des problèmes de santé mentale.

Tout comme le bien-être physique, la santé mentale est importante, et ce peu importe le contexte.[:]

L’AFPC réitère sa demande de retraite anticipée pour les douaniers et les pompiers

Icone discussion PSAC-AFPC

L’AFPC reprend sa lutte pour que les agentes et agents des services frontaliers (FB) et les pompières et pompiers (FR) de l’Union des employés de la Défense nationale obtiennent des conditions de retraite leur assurant la parité avec d’autres pompiers et l’ensemble du personnel de l’application de la loi.

Déclaration concernant les décès près de la frontière entre le Manitoba et les États-Unis

Photo of CIU flag

À la lumière de la tragédie qui s’est déroulée au Manitoba plus tôt cette semaine, où quatre personnes seraient mortes de froid après avoir été abandonnées près de la frontière, nous offrons nos condoléances les plus sincères aux familles et aux proches des victimes.

Alors que le personnel de la GRC, de l’ASFC et des agences américaines continuent à chercher à obtenir davantage d’information, nous offrons également notre soutien à tous ceux et celles qui enquêtent sur cette situation tragique.

De tels événements peuvent être troublants en raison de leur nature. Au besoin, nous vous encourageons à communiquer avec vos représentantes et représentants syndicaux ainsi qu’avec les services du PAE (SynerVie, 1.877.367.0809, ATS : 1.877.338.0275) pour obtenir du soutien.


Une version antérieure de cette déclaration indiquait qu’aucun membre du SDI n’était impliqué dans l’enquête en cours. Cette information a été corrigée pour refléter la participation de nos membres chargés d’assurer la liaison avec la GRC et d’autres partenaires de l’ASFC. La version précédente était basée sur les informations dont nous disposions lors de la publication, et nous nous excusons de cette omission. [:]

RAPPEL : Conférence sur la négociation du groupe FB : invitation aux groupes d’équité et aux jeunes

Les membres de l’AFPC-SDI déclarant appartenir à au moins un des groupes énumérés ci-dessous sont invités à soumettre leur candidature au plus tard le 4 février pour participer à la Conférence nationale sur la négociation du groupe FB.

Groupes admissibles:

  • Autochtones
  • Personnes racialisées
  • Personnes LGBTQ2+
  • Personnes ayant un handicap
  • Femmes
  • Jeunes travailleuses et travailleurs (35 ans ou moins)

L’objectif de cette conférence est d’établir l’ordre de priorité des revendications qui seront mises de l’avant lors de la prochaine ronde de négociations. Il est donc crucial que tous les groupes y participent afin qu’on tienne compte de leurs préoccupations.

Comment soumettre sa candidature

Conformément à l’alinéa 3.3.3 du Règlement 15 de l’AFPC, les personnes déléguées aux conférences nationales sur la négociation doivent :

  • être membres de l’unité de négociation;
  • être des militantes et militants syndicaux convaincus qui prennent part aux activités syndicales et qui souscrivent aux principes syndicaux, y compris la justice sociale et les droits de la personne.

Ça vous intéresse? Veuillez soumettre votre candidature via le site web de l’AFPC au plus tard le 4 février 2022, 11 h 59 (HE).

À noter que la soumission de votre candidature ne vous garantit pas automatiquement une place à la conférence.

Cet article provient du site de l’AFPC.[:]

MIS À JOUR: Appel de propositions pour les Services frontaliers (FB) — Date limite reportée au 28 janvier

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L’Alliance de la Fonction publique du Canada communiquera bientôt avec l’Employeur pour lancer la négociation de votre convention collective.

C’est grâce à votre engagement que l’AFPC-SDI a réalisé des gains importants lors de la dernière ronde de négociations. Pour que la prochaine ronde connaisse le même succès, nous avons besoin de votre participation active – à commencer par vos idées de revendications contractuelles.

Nous vous incitons tous à remplir le formulaire en ligne pour nous faire part des modifications et des améliorations que vous aimeriez qui soient apportées à la convention collective.

Vous avez jusqu’au 28 janvier 2022, 22 h 59 (heure de l’Est) pour proposer des revendications. Les membres devront se connecter pour accéder au formulaire.

Cet article provient du site de l’AFPC.[:]

Négociation des enjeux communs : tous les travailleurs et travailleuses méritent un salaire juste

Image conversation PSAC AFPC

Le coût de la vie augmente rapidement au Canada. Par conséquent, les membres de l’AFPC – et les travailleurs et travailleuses de l’ensemble du pays – risquent d’être laissés pour compte si nous ne négocions pas des salaires adéquats. C’est pourquoi notre équipe qui s’occupe des enjeux communs revendique des augmentations salariales qui suivent l’inflation, pour plus de 110 000 membres.

L’équipe a rencontré le Conseil du Trésor du 13 au 15 décembre.

Cette année déjà, il en coûte 20 % de plus qu’il en coûtait auparavant pour nourrir sa famille, et le coût de la vie augmente plus rapidement que les salaires. La facture d’épicerie d’une famille moyenne de quatre personnes pourrait grimper de 966 $ l’an prochain – soit la plus forte augmentation en 12 ans. Le prix de l’essence, de l’électricité et du gaz naturel est également à la hausse, alors que certains ménages déboursent jusqu’à 20 % de plus pour se chauffer cet hiver.

L’inflation devrait rester élevée au cours des prochaines années, mais les salaires n’ont pas bougé, et notre pouvoir d’achat diminue rapidement. Plus que jamais, nous avons besoin de salaires équitables, de bonnes conditions de travail et de milieux de travail inclusifs. Ça va pour nos membres, mais aussi pour tout le monde.

En tant que premier employeur au Canada, le gouvernement fédéral doit monter l’exemple et donner des augmentations salariales qui ne laissent personne de côté. Autrement, il risque de perdre des fonctionnaires talentueux et dévoués au profit d’employeurs qui reconnaissent que ces personnes méritent mieux sur un marché du travail exigeant en pleine inflation.

Nos membres se sont surpassés pour nous permettre d’affronter la pandémie, en offrant des services et des prestations dont dépendaient des millions de gens. Le refus d’augmenter les salaires en fonction de l’augmentation rapide du coût de la vie équivaudrait à une réduction salariale pour nos membres, qui étaient là quand nous en avions le plus besoin.

Nouvelles dispositions pour améliorer la sécurité d’emploi

Nous avons aussi déposé de nouvelles revendications concernant la sécurité d’emploi. Les négociations surviennent à un moment décisif, alors que l’incertitude économique qui règne accroît la nécessité de pouvoir compter sur un réaménagement des effectifs juste et équitable.

Le réaménagement des effectifs permet à l’employeur de décider que les services d’un ou de plusieurs employés nommés pour une période indéterminée ne seront plus requis en raison d’un manque de travail, de la suppression d’une fonction, de la réinstallation d’une unité de travail, de la fermeture d’un bureau ou d’un emplacement de travail ou de la sous-traitance.

Sous le régime actuel, des fonctionnaires sont inutilement menacés de déplacement ou doivent passer une entrevue pour leur propre emploi, une situation qui engendre son lot de stress et nuit à la santé mentale.

Notre proposition garantirait un processus équitable et transparent, où la précarité n’aurait plus sa place et chaque membre pourrait occuper un emploi permanent. Nous demandons également à l’employeur de reconnaître l’évolution du milieu de travail en offrant davantage de possibilités de télétravail.

Montrez votre soutien!

Votre appui tout au long des négociations est essentiel à notre succès. Montrez votre soutien en utilisant nos images à slogan :

Prochaines séances de négociation

Les pourparlers reprendront du 1er au 3 février.

Pour ne rien manquer des négos de votre prochain contrat de travail, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour dans le portail des membres.

Cet article provient du site de l’AFPC.

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