19e Congrès national du SDI — Première journée

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Le 8 juillet 2021 était le premier jour du 19e Congrès national du SDI. En raison de la pandémie COVID-19, c’était également le premier jour du tout premier congrès virtuel de notre syndicat. Le président national du SDI, Jean-Pierre Fortin, a présidé la réunion depuis le studio à Ottawa, et tous les déléguées et délégués ont participé virtuellement.

Malgré ces circonstances inhabituelles, les déléguées et délégués se sont penchés avec enthousiasme sur les affaires du Congrès et ont eu l’occasion d’entendre le rapport du président national ainsi que ceux de représentants nationaux du SDI. Nous avons également été heureux d’accueillir le président national de l’AFPC, Chris Aylward, pour le discours d’ouverture, ainsi que le négociateur national du groupe FB, Morgan Gay.

Le président national du SDI, Jean-Pierre Fortin, et le président national de l’AFPC, Chris Aylward, en studio à Ottawa

Jean-Pierre Fortin écoute alors que Morgan Gay s’adresse au Congrès
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Offre d’emploi : Adjointe exécutive ou adjoint exécutif au président national (Durée indéterminée)

Photo of CIU flag

Le Syndicat des Douanes et de l’Immigration (SDI) est à la recherche d’un-e candidat-e pour combler un poste bilingue d’adjointe exécutive ou adjoint exécutif au président national (niveau 9) qui possède une vaste expérience, à être doté à plein temps pour une période indéterminée.

Les candidatures seront reçues jusqu’à la fermeture des bureaux le 7 juillet 2021 (17h00, HAE). Consultez le document suivant (PDF) afin d’en savoir plus à propos du poste, des qualifications et des fonctions qui y sont associées, et du processus de soumission de candidatures.[:]

Groupe FB : manifestation de l’AFPC-SDI à Rigaud

Tôt au matin du 25 juin, le SDI et l’AFPC étaient au Collège de l’ASFC à Rigaud pour envoyer un message clair à l’employeur : nous sommes prêts à intensifier la pression et à lutter pour un contrat équitable, qu’on parle parité avec les autres agences d’application de la loi, ou de meilleures protections contre le harcèlement et la discrimination

L’AFPC, solidaire des communautés autochtones après la découverte de tombes anonymes en Saskatchewan

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L’AFPC, comme les anciens élèves des pensionnats autochtones, les communautés autochtones et la population canadienne, est profondément attristée par la découverte de 751 tombes anonymes sur le site de l’ancien pensionnat autochtone à Marieval, en Saskatchewan.

La Journée nationale des peuples autochtones marque un tournant pour le Canada

image of an Indigenous dancer wearing a red dress

En ce 21 juin, célébrons l’histoire, la culture et la diversité autochtones, ainsi que les nombreuses contributions de ces peuples au Canada. Pour la population canadienne non autochtone et les organismes comme notre syndicat, c’est aussi l’occasion de réfléchir à notre histoire et à notre rôle dans le processus continu de la colonisation. C’est surtout le moment de réaffirmer notre solidarité avec la lutte des Autochtones pour la justice.

La découverte bouleversante, le mois dernier, des restes de 215 enfants ayant fréquenté l’ancien pensionnat autochtone de Kamloops sur le territoire Tk’emlúps te Secwe̓pemc marque un tournant pour le Canada. Depuis trop longtemps, la population non autochtone du pays se contente de fermer les yeux sur les injustices structurelles et la violence subie par les Autochtones.

Le premier ministre Justin Trudeau a souvent répété qu’« aucune autre relation n’est plus importante pour le Canada que celle que nous entretenons avec les peuples autochtones ». Alors, pourquoi son gouvernement n’a-t-il pas fait davantage de progrès dans la mise en œuvre des 94 appels à l’action de la Commission de vérité et réconciliation publiés en décembre 2015? Presque six ans plus tard, seulement 12 ont été mis en œuvre, et 20 d’entre eux n’ont vu aucun progrès. Et malgré l’engagement de Trudeau à lever tous les avis prolongés d’ébullition d’eau d’ici mars 2021, force est de constater que des dizaines de communautés autochtones n’ont toujours pas accès à l’eau potable, un droit pourtant fondamental.

L’AFPC exhorte encore une fois le gouvernement à respecter dès maintenant ses engagements envers les Autochtones.

Car si nous voulons survivre, nous devons abandonner notre culture colonialiste qui privilégie le profit au détriment des gens, qui permet aux grandes entreprises de polluer l’air et l’eau, et qui profite de la souffrance de nos aînés. Nous devons faire un virage culturel pour en apprendre plus sur la perspective et les connaissances des Autochtones afin de diriger le pays avec empathie et compassion.

Il faut que tous les ordres de gouvernement sachent que la population canadienne est solidaire des peuples autochtones. Le Canada doit œuvrer à la décolonisation et à la réconciliation parce que les droits des Autochtones sont aussi des droits de la personne.

Les Autochtones ont besoin de l’appui de toute la population canadienne pour réclamer un traitement juste et équitable qui se fait attendre depuis trop longtemps. Parlez à toutes vos connaissances pour aider à dissiper les mythes néfastes sur les Autochtones. Informez‑vous et renseignez votre famille, vos amis et votre collectivité sur le traumatisme intergénérationnel qu’ont vécu les Autochtones. Faites preuve de compassion, apprenez et réfléchissez, puis passez à l’action.

Webinaire : Intersectionnalité et solidarité avec les peuples autochtones

Ne ratez pas le webinaire du 23 juin qui explorera comment nous pouvons être solidaires des peuples autochtones, favoriser leur souveraineté et appuyer la décolonisation.

Cet article a également été publié sur le site de l’AFPC.[:]

L’AFPC célèbre la Fierté

Pride Banner — Bannière de la Fierté

L’AFPC est fière de participer aux célébrations de la Fierté qui auront lieu partout au pays cet été. Bien sûr, il n’y aura pas de défilés. Mais l’esprit de la Fierté imprègne toutes les activités virtuelles qui sont organisées d’un océan à l’autre et qui mettent en valeur la résilience et la persévérance des personnes LGBTQ2+. La saison de la Fierté, c’est le moment de souligner haut et fort les réalisations de la communauté. C’est aussi l’occasion de dénoncer la discrimination, l’homophobie, la transphobie et la biphobie.

La crise sanitaire a frappé fort la communauté LGBTQ2+ (en anglais seulement), beaucoup plus secouée que la moyenne nationale par les mises à pied et les pertes d’emploi. Selon cette enquête, les personnes LGBTQ2+ noires, autochtones et racialisées sont deux fois plus nombreuses à signaler les effets négatifs de la pandémie sur leur santé mentale et à connaître quelqu’un qui est décédé de la COVID-19.

Répercussions disproportionnées, discrimination constante… voilà pourquoi l’AFPC persiste à lutter pour que les milieux de travail fédéraux adoptent des pratiques favorisant l’inclusion des personnes LGBTQ2+ et pour qu’ils soient plus accueillants pour les personnes trans. Nous continuons aussi d’exiger que le gouvernement tienne compte des LGBTQ2+ lorsqu’il actualisera la Loi sur l’équité en matière d’emploi et qu’il collecte de meilleures données de recensement afin que ces groupes soient protégés par la Loi, particulièrement après la purge LGBT.

Partout au pays, l’AFPC appuie les lois bannissant la thérapie de conversion et réclame que le gouvernement libéral élimine l’interdiction du don de sang imposée aux hommes gais et aux femmes trans – une politique non scientifique et discriminatoire que Justin Trudeau a promis d’abolir.

L’AFPC est solidaire de la fière communauté LGBTQ2+ et exhorte les gouvernements et les employeurs à lutter contre toutes les formes de violence, d’oppression et de discrimination à l’endroit des personnes LGBTQ2+.

Cette année, célébrons la Fierté ensemble virtuellement. Résistons et luttons pour de meilleurs lendemains.

Vous voulez plus d’information sur les comités des droits de la personne de l’AFPC ou vous impliquer dans le syndicat? Communiquez avec votre bureau régional.

Téléchargez nos produits numériques Fierté

Cet article a également été publié sur le site de l’AFPC.[:]

Application de la loi dans les bureaux intérieurs : l’AFPC menace une action en justice

L’AFPC a prévenu l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) que le syndicat pourrait recourir aux tribunaux après que l’employeur ait annoncé — en pleine négociation — qu’il avait l’intention de modifier sa politique de renvois sous escorte à l’extérieur du Canada visant les agents d’application de la loi dans les bureaux intérieurs. Les modifications proposées, qui entreraient en vigueur le 15 juillet, obligeraient les agents à prendre un congé annuel dans certaines circonstances.

L’AFPC a avisé l’employeur que, si l’ASFC apporte ces changements, elle consultera ses conseillers juridiques pour examiner la possibilité de déposer une plainte contre l’ASFC auprès de la Commission des relations de travail et de l’emploi dans le secteur public fédéral.

Le droit du travail prévoit clairement un gel de toutes les conditions de travail durant la négociation collective jusqu’à la conclusion d’un nouvel accord, le déclenchement d’une grève légale ou l’émission d’une sentence arbitrale.

Lors des pourparlers avec le Conseil du Trésor et l’ASFC, notre équipe de négociation du groupe FB a souligné à maintes reprises le travail des agents d’application de la loi dans les bureaux intérieurs. Nous avons clairement indiqué notre opposition à la sous-traitance du travail d’escorte effectué par nos agents, et nous avons présenté des propositions concernant les escortes internationales.

L’AFPC et le SDI s’opposent à la tentative de l’ASFC d’imposer des changements applicables aux agents d’application de la loi pendant que nous discutons de leurs conditions de travail à la table de négociation. Nous continuerons de défendre les droits de nos membres.

L’AFPC-SDI et notre équipe de négociation du groupe FB ne manqueront pas de renseigner les membres sur cette question et sur les votes de grève qui se déroulent actuellement dans tout le pays. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à communiquer avec votre représentante syndicale ou représentant syndical ou avec la présidence de votre succursale.

Cet article a également été publié sur le site de l’AFPC.[:]

Votes de grève du groupe FB et webinaires de préparation à la grève

Image discussion FB PSAC-AFPC

Les membres du groupe FB d’un bout à l’autre du pays seront invités à se prononcer au sujet de la grève à compter du 16 juin. Soutenez votre équipe de négociation lors de nos votes de grève a venir afin de vous assurer que nous puissions retourner à la table de négociation en position d’obtenir un contrat équitable.

Sélectionnez votre région pour plus de détails :

Veuillez noter que d’autres sessions peuvent être programmées après le 28. Veuillez vous inscrire en priorité à une session dans votre région. Après avoir assisté à l’une de ces séances, vous aurez accès à des informations sur la façon de voter. Il s’agira d’une présentation de 10 à 15 minutes par un membre de l’équipe de négociation, suivie d’une séance facultative de questions-réponses. Votre présence à l’une des présentations de 10-15 minutes doit être enregistrée, sinon votre vote ne sera pas comptabilisé.

Webinaires de préparation à la grève

Ces webinaires facultatifs ont été mis en place pour donner aux membres du FB une chance d’en savoir plus sur les grèves, la préparation des grèves, et de poser toutes les questions que vous pourriez avoir. D’autres peuvent être ajoutés au programme après.

Date Heure Langue
Mardi le 15 juin 19h à 20h30 HNE Anglais
Mercredi le 16 juin 12h à 13h30 HNE Français
Jeudi le 17 juin 12h à 13h30 HNE Anglais
Lundi le 21 juin 17h30 à 19h HNE Français

Vous pourrez obtenir des réponses à toutes vos questions sur le vote et les mesures de grève lors des assemblées d’information virtuelles qui auront lieu avant le scrutin. D’ici là, vous trouverez à la page suivante des réponses aux grandes questions que vous pourriez vous poser.

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Groupe FB : FAQ sur les votes de grève

Image discussion FB PSAC-AFPC

L’unité de négociation des Services frontaliers (FB) compte plus de 9 000 membres de l’AFPC-SDI qui travaillent à l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC). Ce sont eux qui protègent nos frontières et qui s’occupent de la planification, de la livraison, de l’inspection et du contrôle de la marchandise et des personnes qui arrivent au pays.

Leur convention collective ayant expiré en juin 2018, les membres FB sont sans contrat de travail depuis trois ans déjà. L’équipe de négociation se bat pour obtenir notamment la parité avec les autres agents d’application de la loi du pays, de meilleures protections contre le harcèlement et la discrimination, ainsi qu’une politique de télétravail juste et équitable pour ceux et celles qui ne portent pas l’uniforme.

L’entêtement de l’ASFC à nous refuser ces demandes a mené l’équipe de négociation à déclarer l’impasse en décembre. Nous avons présenté notre point de vue à la commission de l’intérêt public et attendons maintenant ses recommandations. Entre-temps, nous allons tenir un vote de grève afin de donner à notre équipe de négociation le levier nécessaire pour pouvoir débrayer, au besoin.

Vous pourrez obtenir des réponses à toutes vos questions sur le vote et les mesures de grève lors des assemblées d’information virtuelles qui auront lieu avant le scrutin. D’ici là, vous trouverez à la page suivante des réponses aux grandes questions que vous pourriez vous poser.

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Un message de l’équipe de négo FB : votre vote nous aidera à obtenir un contrat de travail à notre mesure

Image discussion FB PSAC-AFPC

Nous sommes, comme vous, des membres du personnel de l’ASFC. Ensemble, nous cumulons plus de 100 ans de loyaux services au gouvernement fédéral. Nous aimons notre travail et nous nous soucions de nos collègues. D’ailleurs, c’est pour ces raisons que nous avons choisi de participer à la vie syndicale et que nous voulons vous parler aujourd’hui de la plus importante décision que notre groupe devra prendre en vue de cette ronde de négociations.

Depuis bientôt trois ans, nous tentons de négocier une nouvelle convention collective avec le Conseil du Trésor et l’ASFC. Ces négociations ont été pertubées au beau milieu du processus lorsque la pandémie de la COVID-19 a frappé, faisant des ravages partout dans le monde. Nous, les membres de l’AFPC-SDI à l’ASFC, travaillons au front tous les jours depuis le début, mettant ainsi en jeu notre santé pour assurer la sécurité de nos frontières et de nos concitoyens. Des agents de programme qui interprètent les décrets aux agents d’exécution de la loi dans les bureaux intérieurs qui effectuent les renvois, en passant par les agents qui inspectent l’EPI, nous avons tous joué un rôle crucial dans la protection des Canadiens et Canadiennes.

L’importance de notre travail est indéniable. Le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, l’a reconnu publiquement à plusieurs reprises durant la pandémie. L’ASFC a aussi souligné plus d’une fois tout le travail que nous avons dû abattre pour sécuriser nos frontières.

Dommage que ces éloges ne nous aient pas suivies à la table de négociation.

Lorsque nous demandons la parité avec nos homologues du pays, qu’il s’agisse des salaires, des pauses repas payées, du recours aux armes à feu ou à d’autres outils, l’employeur refuse. Lorsque nous soulignons le besoin urgent d’une réforme du régime de retraite de l’ASFC, l’employeur fait carrément la sourde oreille. Lorsqu’il s’agit d’appuyer nos membres civils qui ont servi fidèlement les Canadiens et Canadiennes à partir de chez eux durant la pandémie, l’employeur refuse toujours d’inclure des dispositions sur le télétravail à notre convention collective.

Comme si ce n’était pas suffisant, la menace de mesures disciplinaires musclées et d’abus de pouvoir qui plane sur nous crée un climat de travail toxique. Nous avons donc besoin de nouvelles dispositions en matière de discipline, de harcèlement et de dénonciation, mais l’employeur ne bouge pas.

Il veut plutôt nous imposer des concessions : avis de changement de quart de 48 heures au lieu de sept jours; changements majeurs dans l’établissement des horaires et à l’AHPV; modification du congé pour s’occuper de la famille qui en limiterait l’accès pour la plupart d’entre nous et qui serait accordé à la discrétion des gestionnaires.

L’employeur parle des deux côtés de la bouche : il veut que nous fassions passer notre travail avant notre famille, mais il nous traite comme de vulgaires pions. Nous ne pouvons pas accepter pareil traitement. L’heure est venue de mettre notre pied à terre.

Le mois dernier, nous avons présenté notre mémoire à la commission de l’intérêt public, qui fera part de ses recommandations sur les revendications en suspens.

➡️  Mémoire de l’AFPC présenté à la CIP

Entre-temps, nous en avons ras le bol du manque de respect de l’ASFC et du gouvernement, et nous devons leur montrer que nous sommes prêts à nous battre pour obtenir le contrat de travail que nous méritons.

C’est pourquoi nous avons décidé de vous demander de nous donner un mandat de grève. Le président national de l’AFPC et le Bureau national de direction du SDI nous appuient dans cette démarche.

Nous vous demandons de voter POUR la grève, ce qui enverra un message très clair à l’ASFC. Votre soutien donnera à votre équipe de négo le pouvoir de déclencher une grève en cas de besoin.

Au cours des prochaines semaines, nous vous transmettrons toute l’information nécessaire sur le processus, les mises à jour et la participation au vote. Mais avant, votre équipe voulait vous dire que le moment est venu pour nous tous de faire souffler un réel vent de changement à l’ASFC.

Nous vous tiendrons au courant des faits nouveaux. Si vous avez des questions, n’hésitez pas à parler au président ou à la présidente de votre succursale ou avec les gens du bureau régional de l’AFPC.

Nous espérons que vous serez solidaires de votre équipe de négo et de tous vos collègues afin que nous en arrivions à une entente juste et équitable avec l’ASFC et le Conseil du Trésor. Ensemble, on va passer au travers!

En toute solidarité,

Jonathan Ross
Terre-Neuve-et-Labrador
Aéroport de St. John’s

Joey Dunphy
Nouveau-Brunswick
Point d’entrée, Edmundston

Claude Bouchard
Cantons-de-l’Est
Point d’entrée, Saint-Armand

 Ken Turner
Windsor – Pont Ambassador

Frances Baroutoglou
Toronto – Services postaux

Charles Khoury
Ottawa – Administration centrale

Mat Ashworth
Nord de l’Ontario
Point d’entrée, Rainy River

Michael Aessie
Manitoba
Bureau commercial

Leanne Hughes
Colombie-Britannique
Aéroport de Victoria

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