Mois de l’histoire des Noirs 2021 : Mettons fin au racisme anti-noir

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Février est le Mois de l’histoire des Noirs. Profitons-en pour souligner et célébrer les multiples contributions des femmes et des hommes noirs, qu’ils soient de descendance caribéenne ou africaine, à l’histoire et à l’essor de notre pays et au mouvement syndical canadien.

C’est un mythe que le Canada est un modèle de diversité et d’inclusion. La réalité, c’est qu’il n’y a ni équité ni égalité pour les personnes noires ou de descendance caribéenne ou africaine au Canada. Malheureusement, leur histoire et leurs expériences sont souvent ignorées ou vues sous l’angle du colonialisme. Et le racisme rampant nous rend souvent sourds aux revendications des personnes noires.

L’année dernière, la vie quotidienne s’est arrêtée brutalement en raison de la pandémie. Peu après, le monde a été témoin du meurtre brutal de George Floyd, un Noir tué délibérément et violemment par la police. On a – enfin! – reconnu l’existence d’un racisme anti-noir systémique bien ancré dans les forces de l’ordre et la société tout entière. Les personnes noires qui sont régulièrement victimes de racisme savent que ce meurtre n’était pas un incident isolé, mais plutôt un acte qui se répète depuis l’époque de l’esclavage. Le meurtre de George Floyd est un autre exemple de l’incapacité de la société à valoriser la vie des Noirs.

La mort de George Floyd a mobilisé les gens autour de la lutte contre le racisme anti-noir systémique. Partout sur la planète, on passe à l’action : tables rondes, ateliers, manifestations, comités pour la diversité et l’inclusion sur le lieu de travail, publication de reportages dans les médias, collecte de données ventilées, élaboration de stratégies antiracistes, etc. Par exemple, le gouvernement fédéral canadien s’est récemment engagé à lutter contre le racisme systémique dans la fonction publique fédérale et dans la société. Il ne faut pas perdre de vue cependant que le racisme anti-noir est omniprésent et que, pour l’extirper, il faudra transformer la société et les attitudes. Il faudra aussi que les gens apprennent activement à se débarrasser de leurs préjugés inconscients. Enfin, il faudra condamner et responsabiliser ceux qui résistent à la lutte contre le racisme anti-noir et qui défendent la suprématie des Blancs.

De nombreuses voix d’origine noire, caribéenne ou africaine réclament la justice, l’équité et l’égalité dans nos lieux de travail et nos communautés. Entendons-les. Reconnaissons leurs contributions. Valorisons leur vie. Il est temps de tourner la page sur le racisme systémique anti-noir, car la vie des Noirs compte.

L’AFPC vous invite à célébrer le Mois de l’histoire des Noirs. Tout au long de février, nous publierons sur notre site des témoignages de militantes et militants noirs ainsi que des capsules sur leur histoire et leurs réalisations. Joignez-vous à la conversation et faites partie du changement.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]

Groupes PA, EB & TC : sondage sur les négos – votre chance de façonner l’avenir du travail à la fonction publique

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La pandémie a chamboulé la façon dont travaillent les membres de l’AFPC. Télétravail, changements technologiques, effets de l’incertitude économique sur la sécurité d’emploi, grandes inégalités qui perdurent pour les femmes, les travailleuses et travailleurs racialisés et d’autres groupes marginalisés… Voilà quelques-uns des enjeux auxquels nous comptons nous attaquer durant le prochain cycle de négociations qui débutera cet été.

Au cœur des pourparlers : l’avenir du travail à la fonction publique fédérale. Aidez-nous à choisir les questions que nous présenterons à la table de négociation!

15 minutes. C’est tout le temps nécessaire pour remplir notre sondage et nous faire part de vos préoccupations. Votre opinion compte! Dites-nous ce qui a changé au cours de la dernière année. Et parlez-nous de vous pour que nous puissions négocier un contrat qui tient compte des besoins de tous nos membres, sans exception.

Le succès des prochaines négociations repose sur vos réponses au sondage et votre participation au processus de négociation dans son ensemble.

Le sondage s’adresse aux membres des groupes PA (Services des programmes et de l’administration), TC (Services techniques), SV (Services d’exploitation) et EB (Enseignement et bibliothéconomie). Il sera en ligne jusqu’au 25 février 2021.

Jusqu’au 31 janvier, nous acceptons également vos propositions visant à améliorer votre convention collective. Elles seront ensuite examinées par votre Élément et l’AFPC, puis discutées en même temps que les résultats du sondage lors de la conférence sur la négociation – cette assemblée où des membres délégués de partout au pays choisissent les priorités de négociation.

Les conventions collectives en cours viennent à échéance aux dates suivantes :

PA : 20 juin 2021
TC : 21 juin 2021
SV : 4 août 2021
EB : 30 juin 2021

Assurez-vous que vos coordonnées sont à jour dans le portail des membres pour vous tenir au courant de la négociation de votre prochain contrat de travail.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]

Plus que jamais, la santé mentale, ça compte

a photo of three people with the words "mental health matters"

Aujourd’hui, tout comme lors des années précédentes à la fin du mois de janvier, les réseaux sociaux sont remplis de discussions visant à nous sensibiliser aux enjeux et aux initiatives en santé mentale. Contrairement aux années passées, cependant, les défis d’une rare envergure posés par la COVID-19 en matière de santé physique et mentale rendent d’autant plus important de réfléchir à l’état des solutions de soutien en santé mentale au sein du gouvernement canadien et de la fonction publique.

Encore plus que d’habitude, les travailleuses et travailleurs essentiels et de première ligne ont passé les derniers mois à être confrontés à des situations extrêmement pénibles, et le besoin d’une infrastructure de services à la fois robuste et accessible ne peut être sous-estimé si nous voulons prendre soin du bien-être mental des Canadiennes et des Canadiens partout au pays – y compris au travail. L’année dernière, la Commission de la santé mentale du Canada a publié une étude démontrant que près de 9 Canadiennes et Canadiens sur 10 souhaitaient un financement accru en santé mentale. Cette année, du point de vue du secteur de l’application de la loi, Statistique Canada a publié un rapport indiquant sans équivoque que la pandémie a eu un impact important sur le bien-être mental de la population canadienne – certains services de police ayant relevé une augmentation de 13% au niveau des demandes d’intervention liées à des vérifications du bien-être général, et une augmentation de 12% au niveau des demandes liées à la santé mentale.

Au-delà des préoccupations causées par la COVID-19 et de la nécessité de favoriser l’accès à des soins en santé mentale appropriés, la culture en milieu de travail doit également favoriser le bien-être mental au lieu de l’entraver. Au sein de l’ASFC, des sondages antérieurs auprès des employés ont révélé un niveau élevé d’insatisfaction causée par un milieu de travail psychologiquement malsain. En tant que syndicat, nous avons été clairs : il est nécessaire pour l’ASFC de régler les nombreux problèmes qui affligent l’Agence en matière d’abus de pouvoir et de harcèlement de la part des gestionnaires.

Vous n’êtes pas seul

Lorsque vous faites face à une situation difficile au travail ou à la maison, n’oubliez pas que vous n’êtes pas seul. Les gens autour de vous peuvent être une source de soutien et votre syndicat est là pour vous aider et vous aider à trouver les ressources dont vous avez besoin. En tant qu’employés de l’ASFC, vous avez toujours accès aux services confidentiels offerts par Homewood Health, que ce soit pour obtenir de l’aide ou des conseils (pour en savoir plus sur Homewood Health et d’autres ressources, consultez notre page sur la santé mentale). L’AFPC a également publié une liste de ressources pour vous aider si vous vous sentez dépassé, souffrez de stress ou faites face à des problèmes de santé mentale.

Tout comme le bien-être physique, la santé mentale est importante, et ce peu importe le contexte.[:]

19e Congrès national – les 8, 9 et 10 juillet 2021

2021 CIU Convention Banner

Le Congrès national, qui est l’autorité suprême de notre Syndicat, se réunit tous les trois ans et offre à tous les membres du SDI l’occasion de participer au fonctionnement et à l’avenir du Syndicat. Bien que le Congrès initialement prévu pour octobre 2020 ait dû être reporté, nous sommes heureux d’annoncer que l’événement a été repoussé à juillet 2021. Compte tenu de la pandémie, l’événement se tiendra virtuellement.

Nous vous invitons à consultez les documents suivants:

[:]

Calendrier provisoire des paiements rétroactifs et augmentations de salaire pour les groupes PA, EB, TC et SV

Photo of CIU flag

[:en]Treasury Board and the Canada Revenue Agency (CRA) have provided PSAC with a payment schedule for the implementation of monetary provisions now that the PA, EB, TC, SV and PSAC-UTE collective agreements have been signed.

Éliminer la violence fondée sur le sexe : l’AFPC renouvelle son engagement

Drawing of two women wearing masks

En cette de la Journée nationale de commémoration et d’action contre la violence faite aux femmes, l’AFPC honore la mémoire des quatorze jeunes femmes qui ont été tuées à l’École Polytechnique, le 6 décembre 1989, parce qu’elles étaient des femmes. De plus, l’AFPC réaffirme son engagement à mettre fin à toutes les formes de violence fondée sur le sexe.

En ce 6 décembre, nous commémorons

Geneviève Bergeron

Hélène Colgan

Nathalie Croteau

Barbara Daigneault

Anne-Marie Edward

Maud Haviernick

Barbara Klucznik Widajewicz

Maryse Laganière

Maryse Leclair

Anne-Marie Lemay

Sonia Pelletier

Michèle Richard

Annie St-Arneault

Annie Turcotte

Actuellement au Canada :

  • chaque année, 75 000 femmes et enfants doivent se réfugier dans des refuges pour échapper à la violence ou à de mauvais traitements;
  • le taux d’homicide est sept fois plus élevé chez les femmes et les filles autochtones que chez les autres femmes et les filles;
  • les immigrantes sont plus vulnérables à la violence familiale, notamment en raison de leur dépendance économique, des barrières linguistiques et de leur manque de connaissance des ressources existant dans la communauté;
  • les femmes transgenres sont presque deux fois plus à risque d’être victimes de violence que les femmes cisgenres;
  • les femmes vivant avec une déficience physique ou cognitive subissent deux à trois fois plus souvent de la violence que les femmes vivant sans handicap.

La COVID-19 ne facilite pas la lutte contre la violence fondée sur le sexe. La perte d’emploi, l’insécurité alimentaire ou la peur de contracter le virus sont autant de facteurs qui peuvent déclencher la violence familiale. De plus, l’isolement social et les quarantaines limitent l’accès aux refuges ou aux centres d’aide aux victimes d’agression sexuelle. Les femmes qui vivent dans les régions rurales, éloignées et nordiques ainsi que les immigrantes, les réfugiées et les Autochtones restent les plus vulnérables, et la pandémie les isole plus que jamais.

Ces risques amplifiés par la pandémie imposent des actions immédiates. Ainsi, l’AFPC exhorte tous les ordres de gouvernement à :

  • majorer le financement d’urgence offert aux refuges pour femmes et aux centres d’aide aux victimes d’agressions sexuelles, et à trouver des moyens de faciliter l’accès aux services malgré les mesures de distanciation physique;
  • collaborer avec les établissements de santé et les organismes communautaires pour recenser rapidement les ressources locales disponibles;
  • prévoir des services essentiels de lutte contre la violence faite aux femmes dans leur plan d’intervention pour répondre à la COVID-19.

L’AFPC poursuit son travail de prévention de la violence faite aux femmes. Une victoire acquise récemment fait notre fierté : le congé payé de 10 jours pour les victimes de violence familiale désormais inclus dans toutes les conventions collectives du gouvernement fédéral. Grâce à ce congé, les victimes pourront commencer à bénéficier du soutien dont elles ont besoin. Nous continuons aussi à faire pression sur les gouvernements pour qu’ils mettent en œuvre toutes les recommandations du rapport de l’Enquête nationale sur les femmes et les filles autochtones disparues et assassinées, et qu’ils éliminent les obstacles à l’accès au soutien juridique et aux services de counseling dont ont besoin les femmes victimes de violence.

L’AFPC invite tous ses membres à participer aux 16 jours d’action contre la violence faite aux femmes, du 25 novembre au 10 décembre, en prenant des mesures pour en éliminer les causes profondes.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]

À la retraite ou ancien fonctionnaire ? Voici comment obtenir votre dédommagement Phénix

Fix Phoenix Pay System Logo

Nous avons appris que certains membres retraités ou anciens ont été dirigés vers le formulaire intitulé Demande d’indemnisation générale pour les anciens employés : paiement équivalent au congé supplémentaire afin d’obtenir leur dédommagement Phénix.

Ce n’est pas le bon formulaire pour obtenir votre part du dédommagement Phénix, laquelle pourrait atteindre 2 500 $.

Ce formulaire sert plutôt à obtenir l’équivalent en espèces du congé (cinq jours maximum) qu’ont accepté tous les agents négociateurs fédéraux, sauf l’AFPC.

Les fonctionnaires retraités ou anciens qui répondent aux critères d’admissibilité  recevront un dédommagement Phénix pour chaque année financière où ils sont admissibles.

Pour obtenir le dédommagement, vous devrez déposer une réclamation semblable auprès du Conseil du Trésor. Cela dit, le gouvernement fédéral n’a toujours pas publié ni le lien vers le formulaire ni les détails connexes. Nous transmettrons ces renseignements lorsqu’ils seront disponibles.

Cherchez-vous des renseignements supplémentaires sur le dédommagement Phénix? Consultez notre foire aux questions. Gardez vos coordonnées personnelles à jour dans le portail des membres pour recevoir de l’information à ce sujet.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]

Groupe FB : les négociations sont rompues entre l’AFPC-SDI et l’employeur

Devant le refus du Conseil du Trésor et de l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) de régler des enjeux cruciaux pour les quelque 9 000 membres du groupe FB, l’équipe de négociation de l’AFPC a déclaré l’impasse.

Les propositions avancées par notre équipe de négo étaient très raisonnables, mais l’employeur a refusé d’en parler sérieusement, présentant plutôt des concessions inacceptables. L’équipe de négo n’a pas eu d’autre choix que de quitter la table.

L’AFPC-SDI a donc demandé la mise sur pied d’une commission de l’intérêt public (CIP), conformément à la loi fédérale. La CIP formulera des recommandations visant à régler l’impasse. Les membres de l’équipe de négociation et les dirigeants de l’AFPC se réuniront au cours des prochaines semaines pour discuter d’autres actions possibles.

Qu’arrive-t-il s’il n’y a pas d’entente?

Au service de la population canadienne

Chaque jour, d’un bout à l’autre du pays, les FB risquent leur vie afin de protéger la population canadienne, que ce soit en défendant les frontières, en inspectant les marchandises dangereuses ou en dépistant la COVID-19 chez les voyageurs. Plusieurs d’entre eux ont d’ailleurs contracté la COVID-19 dans l’exercice de leurs fonctions.

Les FB sont sans contrat depuis plus de deux ans, à un moment où la population dépend d’eux plus que jamais. Ils méritent tellement mieux.

Malgré tout, le gouvernement fédéral et l’ASFC refusent de leur offrir une entente qui reconnaît l’importance de leur travail et les met au diapason d’autres organismes d’application de la loi partout au pays.

Principaux enjeux

  • Rémunération : l’employeur doit veiller à ce que les droits et la rémunération des membres FB soient alignés sur ceux d’autres organismes d’application de la loi au Canada. L’employeur a rejeté notre proposition. Pourtant, les agents des pêches, les gardes de parcs et les agents de libération conditionnelle ont tous reçu bien plus que ce que l’employeur offre aux FB. Sans compter que l’ASFC insiste encore pour utiliser les FB-2 comme main-d’œuvre à bon marché. C’est inacceptable!
  • Réforme du régime de retraite : l’employeur doit offrir une retraite anticipée aux agents des services frontaliers après 25 ans de service, comme le font les autres agences fédérales d’application de la loi. L’ASFC et le Conseil du Trésor ont refusé d’en parler.
  • Flexibilité accrue : l’employeur doit donner accès au télétravail et aux congés avec étalement du revenu, particulièrement aux membres en civil. Comme l’ASFC ne respecte pas la politique du Conseil du Trésor en la matière, on doit avoir des protections dans la convention collective.
  • Nouvelles protections : l’employeur doit offrir de meilleures protections contre les mesures disciplinaires (DSNP et enquêtes de sécurité sur le personnel), la surveillance, les abus de pouvoir et le recours aux étudiants. L’ASFC doit aussi mieux protéger les lanceurs d’alerte et traiter équitablement les demandes de remboursement de certificats médicaux. L’ASFC a refusé d’en parler.
  • Heures de travail : l’employeur doit offrir une pause-repas payée, comme le font d’autres organismes d’application de la loi, et bonifier les droits des personnes travaillant par quart, notamment en ce qui a trait à l’ancienneté et au temps rémunéré pour l’entraînement au maniement des armes à feu. L’ASFC et le Conseil du Trésor ont refusé d’en parler.

Zéro concession

L’employeur exige d’importantes concessions : affaiblir les protections entourant l’aménagement d’horaires de postes variables (AHPV); adopter des AHPV nationaux; réduire le préavis sur la modification des quarts de travail; et assujettir le congé non payé pour s’occuper de la famille aux nécessités du service et à une durée minimale de 12 semaines. Ces concessions sont inacceptables.

Solidarité avec les FB – cliquez ici pour appuyer les membres FB en négociation !

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]

Envoyez une lettre pour appuyer les membres FB en négociation

Image discussion FB PSAC-AFPC

Nous avons besoin de votre aide pour continuer à faire pression sur le gouvernement et sur l’ASFC en envoyant des milliers de messages en faveur d’une convention collective équitable.

Consultez la page suivante pour envoyer un message en utilisant notre gabarit. Si vous n’êtes pas membre du groupe FB, n’hésitez pas à créer votre propre message !

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MIS À JOUR – Groupe FB : inscrivez-vous dès maintenant au forum téléphonique

Image discussion FB PSAC-AFPC

L’AFPC-SDI vous invite à participer au forum téléphonique portant sur les négos et les activités de mobilisation que nous planifions pour obtenir un contrat équitable.

Lors du forum, Jean-Pierre Fortin, président national du SDI, et Morgan Gay, négociateur de l’AFPC, vous communiqueront des renseignements importants et discuteront du processus de négociation et de nos principales revendications. Vous pourrez leur poser des questions ou leur faire part de vos préoccupations après la présentation.

Vous méritez une convention collective qui reflète l’incroyable dévouement que vous avez manifesté à la population et qui vous met au diapason d’autres organismes d’application de la loi au Canada. En participant au forum, vous découvrirez comment votre équipe de négo compte se battre pour arriver à cette fin.

Forum FB en français

Forum FB en anglais

Forum FB supplémentaire (en anglais)

NOUVEAU

Forum FB supplémentaire (en français)

Nous tiendrons des forums régionaux après le forum national. Vous recevrez des détails sous peu.

La version originale de cet article a été publiée sur le site de l’AFPC.[:]