Conférence nationale des jeunes travailleuses et travailleurs de l’AFPC 2023 : inscrivez-vous!

La conférence nationale des jeunes travailleuses et travailleurs  de l’AFPC aura lieu en personne du 21 au 23 avril à Montréal et aura pour thème « Jeunes travailleuses et travailleurs : une force syndicale émergente ».

Vous êtes une ou un jeune membre en règle de l’AFPC (âgé de 35 ans et moins)? Soumettez votre nom pour participer à la conférence à titre de personne déléguée! Vous participerez à des ateliers et à des séances plénières, débattrez de résolutions et élirez deux jeunes et une personne suppléante qui vous représenteront au congrès national triennal de l’AFPC en 2024.

Consultez le site de l’AFPC pour vous inscrire.[:]

Négos du groupe FB : Mona Fortier a en main notre demande de retraite anticipée après 25 ans

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À la reprise des pourparlers, du 15 au 17 novembre, l’équipe de négociation du groupe FB a continué à négocier les améliorations qui importent le plus à nos membres.

Elle a insisté sur l’importance de la réforme de la retraite pour les membres FB de partout au pays. Il y a plus d’une décennie que l’AFPC-SDI prend tous les moyens possibles pour faire valoir cette priorité.

Lorsque nous avons présenté notre revendication, l’employeur a répondu qu’il ne trouvait pas approprié de se prononcer sur la question à cette étape, puisque le dossier était passé par les comités et qu’il appartenait maintenant à la présidente du Conseil du Trésor de trancher.

L’AFPC revendique, pour les membres du groupe FB, une option de retraite anticipée équitable (après 25 ans de service) qui soit comparable à celle dont jouissent d’autres fonctionnaires de la sécurité publique. Le gouvernement fédéral se penche enfin sur le dossier.

Vous pouvez contribuer à ces efforts en pressant la ministre Fortier de faire ce qui s’impose. Écrivez à votre députée ou député et à la Ministre pour leur rappeler que les membres du groupe FB méritent un régime de retraite équitable.

Autres grands enjeux

Entretemps, l’équipe a aussi discuté de la protection des travailleuses et travailleurs contre le harcèlement de la direction et l’abus de pouvoir à l’ASFC, et de nouvelles mesures pour éviter la reprise aléatoire des outils et la suspension sans solde pendant les enquêtes.

Nous avons été clairs : le télétravail doit avoir sa place dans la convention collective pour que celle-ci reflète la réalité de milliers de membres. Il est particulièrement important pour nos membres d’avoir un recours négocié quand la direction leur refuse le télétravail sans faire preuve de transparence, de cohérence et d’équité.

Nous avons aussi réclamé de nouveaux droits d’ancienneté qui seraient conformes aux protections standard offertes à la majorité du personnel des forces de l’ordre. D’autres discussions ont porté sur le temps mobilisé, notamment quand le personnel de la Division des opérations de l’exécution ne peut rentrer à la maison après un déploiement outre-mer ou quand des membres doivent rester sur le lieu de travail.

L’employeur, en revanche, a déposé une proposition qui affecterait grandement la sécurité d’emploi des membres en lui permettant d’annuler des offres d’emploi raisonnables en cas de situation excédentaire. L’équipe s’oppose à cette proposition inacceptable et continuera de réclamer une meilleure protection.

Prochaines étapes

L’équipe retournera à la table en décembre. Pour en savoir plus au sujet des revendications contractuelles, cliquez ici :

Pour ne rien manquer de la négociation, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour. Si vous avez des questions, communiquez avec la présidence de votre succursale ou avec votre bureau régional.

Cet article provient du site de l’AFPC.

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Conférence nationale des femmes 2023 : inscrivez-vous !

La Conférence nationale des femmes de l’AFPC aura lieu en personne du 31 mars au 2 avril à Ottawa, sous le thème « Force, pouvoir et compassion : à nous de jouer! »

Vous êtes une membre en règle de l’AFPC? Pensez à vous inscrire à la conférence! En tant que déléguée, vous participerez à des ateliers et des séances plénières, débattrez de résolutions, et élirez deux femmes qui vous représenteront au congrès national de l’AFPC en 2024.

Consultez le site de l’AFPC pour vous inscrire.[:]

Journée du souvenir trans : une invitation à mieux soutenir les personnes trans

Chaque année, le 20 novembre est l’occasion d’honorer la mémoire des personnes transgenres ayant perdu la vie dans des actes de violence dirigés contre elles et de faire connaître les problèmes persistants auxquels font face les personnes trans et de genre non conforme.

Gwendolyn Ann Smith, militante pour les droits trans, a créé cette journée en l’honneur de Rita Hester, une femme noire trans qui a été assassinée à Boston, en 1998. Un meurtre toujours non résolu. Encore aujourd’hui, de trop nombreuses personnes trans sont victimes de violence et subissent le même sort.

Le Congrès du travail du Canada (CTC) a mené une enquête nationale sur le harcèlement et la violence dans les milieux de travail canadiens. Les conclusions révèlent que les personnes trans, non binaires et de la diversité de genre sont plus souvent victimes de harcèlement et de violence au travail que leurs collègues. Par exemple, 73 % des répondantes et répondants issus de la diversité de genre ont vécu de la violence et du harcèlement sexuel, comparativement à 46 % des femmes et à 38 % des hommes.

Nous pouvons toutes et tous mieux soutenir nos proches et nos collègues trans en contribuant à rendre nos communautés et nos milieux de travail plus sûrs et plus inclusifs. Parce que les personnes trans méritent d’être traitées avec respect et bienveillance, comme tout autre être humain.

Renseignez-vous et passez à l’action

L’une des façons de rendre hommage aux personnes bispirituelles, trans et non binaires est d’utiliser un langage inclusif. Ainsi, cette année, l’AFPC a conçu le Guide sur le langage inclusif pour aider les membres, le personnel et les personnes élues à une charge de direction à s’exprimer et à s’adresser à autrui d’une manière qui respecte la grande diversité d’identités de genre à l’AFPC.

Pour s’assurer que les personnes trans ont le soutien nécessaire dans leurs milieux de travail, leurs syndicats et leurs communautés, le CTC a créé le guide Travailleuses et travailleurs en transition, destiné aux représentantes et représentants syndicaux et aux membres qui souhaitent contribuer à améliorer les droits des personnes trans.

Nous vous invitons à participer à une vigile virtuelle ou à trouver une activité organisée dans votre communauté à l’occasion de la Journée du souvenir trans.

Cet article provient du site de l’AFPC.[:]

Audits de vaccination contre la COVID-19 : FAQ

Image of border crossing with the words "COVID-19"

À l’automne 2021, les membres du personnel de l’ASFC ont été invités à remplir une attestation de vaccination, confirmant qu’ils avaient été vaccinés contre la COVID-19. L’obligation d’attester faisait partie de la Politique du Conseil du Trésor sur la vaccination contre la COVID-19 applicable à l’administration publique centrale, y compris à la Gendarmerie royale du Canada ; cette politique est entrée en vigueur le 6 octobre 2021.

La politique du Conseil du Trésor était très claire : bien que l’attestation soit suffisante pour démontrer la conformité au mandat de vaccination, elle pourrait faire l’objet d’une vérification subséquente. Autrement dit, les membres du personnel pouvaient être tenus, à un moment donné, de prouver qu’ils ont été vaccinés contre la COVID-19.

L’ASFC a récemment commencé son processus d’audit de la vaccination. Afin de répondre le plus efficacement possible aux nombreuses questions nos membres pourraient avoir, le SDI a préparé la foire aux questions (FAQ) suivante, qui regroupe de nombreuses questions à ce sujet.

Si cet audit avait été réalisé alors que les vaccinations étaient encore obligatoires, il aurait pu être considéré comme une mesure de santé et de sécurité. Nous sommes déçus que l’Agence ait choisi de remettre en question les attestations de son personnel à ce moment-ci, alors que cela ne peut se faire que dans une optique disciplinaire.

Nous invitons nos membres à consulter la foire aux questions ci-dessous et à contacter leurs représentantes syndicales et représentants syndicaux locaux pour toute question.


FAQ concernant les audits de vaccination

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Plan d’action de lutte contre le racisme : consultation des membres

Photo of CIU flag

Chères et chers membres,

Vous avez peut-être reçu un courriel d’Environics Research (publicaffairs@environics.ca) vous invitant à participer au processus de consultation des membres commandé par l’Alliance de la Fonction publique du Canada dans le cadre de son Plan d’action de lutte contre le racisme.

En tant qu’organisation syndicale, le Syndicat des Douanes et de l’Immigration est déterminé à s’attaquer aux problèmes découlant du racisme et de la discrimination systémiques qui touchent les membres noirs, autochtones, asiatiques et racialisés. Les droits de la personne sont les droits des travailleuses et des travailleurs, et les principes d’inclusion, de diversité et d’équité font partie intégrante de notre mission primordiale qui consiste à faire avancer ces droits. Le plan d’action de l’AFPC de lutte contre le racisme vise à renforcer notre capacité à faire respecter ces principes à tous les paliers en examinant la façon dont nous servons et représentons les membres de tous les milieux. Le processus de consultation en cours joue un rôle clé en fournissant au syndicat l’apport nécessaire des membres pour y parvenir.

Le processus de consultation consiste en un court sondage de deux minutes. Les membres qui y participent peuvent aussi être invités à se joindre à un groupe de discussion subséquent pour partager leurs expériences plus en détail. Cette initiative de l’AFPC appuie le travail effectué par notre propre Comité des droits de la personne du SDI pour lutter contre le racisme et la discrimination – tant dans notre milieu de travail qu’au sein de notre propre syndicat – et nous vous encourageons fortement à y participer.

Aucune initiative n’est trop minime dans la lutte continue contre le racisme et la discrimination. Nous vous remercions à l’avance de prendre le temps de partager vos expériences et de nous aider à construire un mouvement syndical fort et inclusif.

En toute solidarité,

Mark Weber
Président national du SDI

Murray Star
Président, Comité permanent des droits de la personne du SDI[:]

Groupe SV : l’employeur ne démord pas de son offre

Après une semaine de médiation, le Conseil du Trésor n’a fait aucun effort pour trouver un terrain d’entente durant les négos pour les plus de 10 000 membres du groupe SV : il refuse de changer sa position sur les enjeux clés, en particulier sur les salaires équitables et les ajustements au marché.

La nouvelle offre salariale, d’abord proposée en septembre pendant la médiation sur les enjeux communs, correspond à une augmentation annuelle moyenne de 2,06 % sur quatre ans. Le Conseil du Trésor n’a pas démordu de son offre durant la médiation qui a eu lieu du 11 au 14 octobre.

L’équipe du groupe SV a proposé que la question soit soumise à un arbitrage exécutoire dans l’éventualité où les parties ne parviendraient pas à s’entendre sur les ajustements du marché. L’employeur a rejeté cette proposition.

Notre équipe l’a dit clairement : combler l’écart entre les salaires des SV et ceux des personnes occupant des postes semblables en dehors de la fonction publique est la priorité de cette ronde. À moins que le gouvernement ne revienne à la table avec un nouveau mandat, nous continuerons de faire pression pour que cette question soit soumise à l’arbitrage exécutoire. Sinon, nous n’aurons d’autre choix que de régler le différend sur les lignes de piquetage.

Le gouvernement bloque la reprise des négos

Le Conseil du Trésor semble résolu à retarder les négociations et à tenir à l’écart nos principales revendications, faisant ainsi perdre du terrain à nos membres, qui sont sans contrat depuis juin 2021. En réponse à cette inaction, l’AFPC offre un cours de préparation à la grève, en personne et en ligne, à plus de 165 000 de ses membres du secteur public fédéral afin de serrer la vis à l’employeur pour qu’il négocie de bonne foi.

Le syndicat abordera ces revendications aux audiences de la commission de l’intérêt public, dont les dates seront fixées cet automne par la Commission des relations de travail et de l’emploi dans le secteur public fédéral. Si les audiences de la CIP ne débouchent pas sur une entente, les membres de l’AFPC devront être prêts à intensifier leurs moyens de pression pour obtenir un contrat juste et équitable. La grève n’est pas exclue.

Informez-vous et mobilisez-vous!

C’est par l’action et la mobilisation qu’on obtiendra une entente juste et équitable. Restez informés et soyez prêts!

Enfin, pour ne rien manquer de l’évolution des négociations, vérifiez que vos coordonnées sont à jour.

Cet article provient du site de l’AFPC.

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ArriveCAN : Les agents frontaliers n’ont jamais été consultés, dit le président national du SDI au comité des opérations gouvernementales

Photo of CIU flag

Le jeudi 20 octobre 2022, le président national du Syndicat des Douanes et de l’Immigration, Mark Weber, a témoigné devant le Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires de la Chambre des communes dans le cadre de l’étude du Comité sur l’application ArriveCAN.

S’adressant au Comité, le Président national du SDI a critiqué l’Agence, soulignant le manque total de consultation avec les agents de première ligne — tant dans le contexte d’ArriveCAN qu’en général. « Ce qui est peut-être le plus vexant au sujet d’ArriveCAN, c’est la façon dont l’application a été élaborée sans aucune consultation significative avec les agents de première ligne, et sans que l’on recherche un quelconque apport de leur part. Cela n’a pas été le cas lorsque l’idée a été proposée pour la première fois, ni lorsque l’application a été développée initialement, et certainement pas à aucun moment au cours de l’une des plus de 70 mises à jour que l’application a dû subir », a déclaré le président national au Comité, expliquant qu’il était « absurde » de développer une application conçue pour la première ligne sans impliquer ceux et celles qui servent à la frontière. Si cela avait été le cas, les agents auraient été en mesure de signaler les problèmes potentiels — ArriveCAN en ayant vu plus d’un — avant qu’ils ne surviennent.

« Comme poser du papier peint avant de couler les fondations »

Le président national du SDI a également souligné que la décision de financer le développement d’ArriveCAN aux dépens de questions plus urgentes, telles que la grave crise de dotation en personnel, était hautement problématique, la comparant à « poser du papier peint avant de couler la fondation » et soulignant qu’ « en choisissant d’investir des dizaines de millions de dollars dans ArriveCAN alors que ses services frontaliers manquent de personnel et sont surchargés de travail, le gouvernement fédéral joue tout simplement avec la capacité du Canada à maintenir une frontière sûre et qui fonctionne correctement. »

ArriveCAN n’est pas le seul problème

ArriveCAN n’est certainement pas unique à l’ASFC. Ce n’est qu’un exemple d’une longue série de solutions technologiques mal adaptées pour le long terme qui, en fin de compte, ne parviennent pas à améliorer la sécurité et l’efficacité frontalières de façon réelle : les kiosques d’inspection primaire, les portes électroniques, les déclarations à distance, etc. Ce que celles-ci ont également en commun, c’est qu’elles sont toujours élaborées sans la participation du personnel de première ligne qui travaille à la frontière.

« Ce que le gouvernement et l’ASFC peuvent apprendre de l’expérience d’ArriveCAN est que, s’ils veulent gérer efficacement et correctement notre frontière, tout en s’assurant de la solidité des projets conçus à cette fin, ils doivent compter sur l’expertise des agents frontaliers de première ligne et la solliciter de manière significative », a conclu Mark Weber. « Nos membres sont fiers du travail qu’ils accomplissent, ils sont fiers de servir les Canadiennes et les Canadiens, et je sais qu’ils sauteraient sur l’occasion d’aider à améliorer nos processus frontaliers. »

Un enregistrement de la réunion du Comité peut être visionné ici.[:]

Changements à l’équipe de négociation du groupe FB

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Depuis sa formation plus tôt cette année, notre équipe de négociation FB a connu quelques changements dans sa composition. L’équipe de négociation actuelle est donc composée des membres suivants :

Brea Baresinkoff, Michael William Fraser, Marjorie Gavel, Sophie Martin, Jacqueline Monk, Lisa Morgan, Keith Palmer, Shane Paul, Stewart Saunderson et Jordan Smith.

Morgan Gay et Darren Pacione restent respectivement en tant que négociateur et agent de recherche.

Bienvenue aux nouveaux membres et merci à toute l’équipe pour le travail que vous accomplissez au nom des membres du groupe FB.

Groupe TC : aucun progrès sur les principales revendications malgré la médiation

Après une semaine de médiation, le gouvernement fédéral s’obstine à offrir l’équivalent d’une baisse de salaire pour près de 11 000 fonctionnaires du groupe TC aux prises avec une inflation record et une éventuelle récession.

La nouvelle offre, d’abord proposée en septembre pendant la médiation sur les enjeux communs, correspond à une augmentation annuelle moyenne de 2,06 % sur quatre ans, et le Conseil du Trésor n’en a pas démordu durant la séance de médiation qui a eu lieu du 17 au 21 octobre.

Les négociateurs du groupe TC ont clairement fait savoir que cette offre est inacceptable et qu’ils veulent une entente juste et équitable.

Le gouvernement exige des concessions et ne propose rien pour régler les questions importantes aux yeux des membres du groupe TC, notamment les nombreuses indemnités qui garantiraient une rémunération équitable à nos membres.

En réponse à cette inaction, l’AFPC offre un cours de préparation à la grève, en personne et en ligne, à plus de 165 000 de ses membres de la fonction publique fédérale. L’objectif : serrer la vis pour que l’employeur négocie de bonne foi.

Le syndicat abordera ces revendications lors des audiences des commissions de l’intérêt public établies par la Commission des relations de travail et de l’emploi dans le secteur public fédéral. Les audiences se tiendront du 28 novembre au 1er décembre pour les enjeux communs et le 9 décembre pour le groupe TC.

Si ces audiences ne débouchent pas sur une entente, les membres de l’AFPC devront être prêts à intensifier les moyens de pression pour obtenir gain de cause. La grève n’est pas exclue.

Informez-vous et mobilisez-vous!

C’est par l’action et la mobilisation qu’on obtiendra une entente juste et équitable. Soyez informés et soyez prêts :

Enfin, pour ne rien manquer des négociations, assurez-vous que vos coordonnées sont à jour.

Cet article provient du site de l’AFPC.

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